top of page
Rechercher
  • Photo du rédacteurRenard Frak

Changeons le monde deux boisés à la fois.

Dernière mise à jour : 16 août 2018

Qui me lira ?

À l'intérieur du boisé du métro L'Assomption

Pour vous parler rapidement, vous atteindre, il me faudrait un montage vidéo court,

de cinq minutes maximum, avec des images à couper le souffle. Il me faudrait trouver un ton que vous n’avez jamais entendu, pour ne pas être redondant, pour ne pas faire vieux hippies ou alarmiste à la Greenpeace. Il me faudrait vous dire que je ne suis pas contre l’économie. Bien au contraire, je suis pour des vecteurs puissants de création d’emploi chez nous, ici, au Québec. Mais pas à n’importe quel prix. Pour que vous m’écoutiez tous, il faudrait que je sois une vedette et que je passe à Tout le monde

en parle.


Il y a tellement de personnes qui vous ont parlé de #vert, d’écologie, que vous en avez marre. Il y a très longtemps que vous n’écoutez plus. Même si vous écoutez, vous vous dites : « Bah, qu’est-ce que je peux y faire de toute façon ! J’aime mieux ne pas en entendre parler, être naïf, à m’amuser avec le peu que me procure mon travail. J’aime mieux me créer un chez-moi douillet en oubliant le reste. » Même ça, vous l’avez déjà entendu des milliers de fois. D’après mon ami Michel, rendu ici, il ne devait plus y avoir que 5 % des gens qui ont entrepris ce texte à me lire. C’est peu... Bah.


Alors pourquoi je m’entête à essayer de vous parler ? Hein ?

“ Comment vois-tu un monde meilleur ? ”

J’entrevois tout d’abord un grave problème d’éducation pour cette réaction. Cette réaction de déni. L’école nous a fait rentrer dans un moule, vous le savez, ça aussi vous l’avez déjà entendu. Une façon de voir les choses qui est comme regarder par le petit bout de la lorgnette qu’une facette d’un tout. On a tous été élevés d’une façon à réduire notre conscience, notre sens critique, notre créativité pour les autres facettes du tout. Surtout, on a été élevé qu’à regarder d’une façon. On se retrouve maintenant avec des sujets, des manières de voir qui sont taboues. Bizarre et intéressant à la fois.


On demande aux jeunes : « Comment vois-tu un monde meilleur ? » On va même en faire des galas à la télé. Mais dans ces événements médiatiques, on n’entendra jamais les utopistes. Ou ceux qui veulent remplacer le système capitaliste. Ou même ceux qui ne veulent pas de système du tout. Il faut absolument que le #changement serve à quelque chose dans le système dans laquelle ont vit présentement. Ça reste du changement de surface. Tout le reste est mis de côté avant même que l’on y ait pensé.

Il faut penser au travers du système, sinon c’est très mal vu, et automatiquement rejeté par la population, puisqu’elle n’a pas appris à entendre ces choses étranges. On tombe tout de suite dans le New Âge, dans le communisme, dans le conspirationnisme...

La société s’efforce d’y apposer une étiquette qui est pour elle négative.


Monarque au boisé Beni Hana

L’économie avec des ###...

Il y a le manque d’éducation philosophique de la population, oui, mais il y a aussi la puissance de propagande des médias. D’abord, on ne reviendra pas sur le concept biaisé de qui est arrivé avant, la poule ou l’oeuf. La question qui tue pour certains :

« Est-ce que ce sont les médias qui oblige le sujet ou c’est le peuple qui le demande ? »

À voir l’évolution de l’humanité, ce sont indéniablement les médias qui obligent les sujets. La manière de penser, la manière de voir, la manière dont on doit penser.

Depuis mon enfance, j’ai vu augmenter exponentiellement la rhétorique sur l’#économie. Le sujet par prédilection, à part le sport. On ne parle que de ça, partout.


C’est d’ailleurs encore la manière forte de voir les choses par le parti politique qui aimerait bien grimper au pouvoir, dans ce Québec, à cet automne 2018. Sujet inépuisable de fausses discordes chez le bon peuple et les bons penseurs médiatiques. L’#économie est le sujet omniprésent dans nos têtes, qu’on le veuille ou non. Moi,

qui ne regarde pas la télé, qui ne lit pas les journaux, je suis que trop renseigné

sur l’#économie. Faut que l’#économie aille bien, à tout prix, faute de quoi, c’est l’hécatombe, c’est la fin ! La fin de quoi ? À part des banques qui feront faillite,

je ne vois pas. Mais justement, je ne veux pas embarquer dans ce débat, car à la base,

il est superflu.


Que regarder par le petit bout de la lorgnette de l’#économie, l’humanité se tue à grand feu. Vous le savez, vous l’avez vu. Force est d’admettre que la propagande a réussi. Même les plus écologistes des mes amis, même des amis proches, ont de la difficulté a comprendre mon point de vue. C’est que ma vision est souvent associée aux conspirationnistes. C’est très mal vu. Pourquoi donc ? Pourquoi est-ce mal vu ?


J’ai comme l’impression que plus personne ne me lit, à ce point. Point. Ah ah ! Fascinant, j’écris pour moi-même et je me vide le coeur. Je poursuis donc pour moi ! Pourquoi est-ce que l’on ne peut plus philosopher sur des sujets aussi tenus. Ce n’est pas la base de la société, le capitalisme (l’#économie). Ce n’est pas ce qui fait de nous des êtres humains, à ce que je sache, le capitalisme. Pourquoi est-ce mal vu par la majorité de la société de mettre en doute le système capitaliste ? Je n’ai pas d’autre réponse que le début de mon texte. L’éducation et la propagande. Puisque j’écris pour moi, je ne ferai pas la définition de #propagande. Ce n’est pas que russe cette histoire-là ! Haha ! Ok, c’était une joke que pour moi et mes 60 000 auditeurs... Bon une référence à Pérusse astheure... Allo ?


À l'intérieur du boisé du métro L'Assomption

Bon, bon, ok, je me reprends

“ Oui, mais qu’est-ce que tu proposes ? ”

Je me reprends ! Dès que j’effleure le sujet, de vouloir éradiquer le système capitaliste, qu’est-ce qui arrive à la conversation ? Soit on me saute dessus avec des mots en me demandant sèchement : « Oui, mais qu’est-ce que tu proposes ? », ou on me sort tout de suite : « Ouan, mais le communisme n’a pas fonctionné, fak... ». Alors, dès que l’on effleure le sujet, ça prend tout de suite une solution de remplacement, ou une comparaison a un autre système qui se voulait peut-être l’inverse du capitalisme. Dans les faits, le communisme s’est avéré être une dictature déguisée. Tout comme le capitalisme, mais avec des moyens différents. Par la force des choses, le communisme s’est concentré sur l’oppression des masses laborieuses. Le capitalisme a créé un monde à la Walt Disney, où on a l’impression d’être libre. C’est juste une impression les amis, au bout du compte, on n’a pas le choix. Il est vrai que physiquement, il est plus agréable de vivre dans un monde capitaliste, c’est surement le moins pire de la gang. Mais à quel prix ? C’est là que l’on paye, vous le voyez vous aussi. Il faut payer pour cette fausse démocratie, pour cette fausse liberté.


À surproduire, bien au-dessus de nos moyens, de nos ressources. En créant des besoins qui n’étaient aucunement nécessaires. Le capitalisme pille les ressources de la terre, à outrance. Le prix, on le voit, on le sent, on l’entend. Appauvrissement rapide du tout au complet, ce n’est pas compliqué, jusqu’au désert. J’espère que je ne serai pas obligé de vous faire un dessin, ça fait au moins 50 ans qu’on vous le martèle par des hosties de fatigants d’écolos comme moi ! Pourquoi ça ne change pas ?


Peut-être parce que justement, on ne connait pas mieux. On ne trouve pas de solution, parce que l’on n’a pas appris à le faire. Surtout, les médias, la société du spectacle font absolument tout pour qu’on ne pense pas, qu’on ne réfléchit pas. Mon ami Michel me disait que j’avais beaucoup de colère à canaliser au travers cette lutte, au travers cette philosophie de carnaval. C’est vrai. Oui, c’est vrai. De la colère.


C’est que je trouve illogique de présenter des faits ignobles aux gens, par exemple la disparition imminente de boisés à Montréal. Que tout ce que les gens trouvent à me répondre : « As-tu une pétition ? As-tu interpellé le maire ? As-tu fait ci ? As-tu fait ça ? » Les gens sont consternés comme moi, les gens considèrent ma requête juste. Les gens sont prêts a m’appuyer, mais que pour signer une pétition. Ou que pour mettre un bon commentaire sur Facebook. Ma logique à moi est autre. Je crois que ça devrait être d’ailleurs la base de la logique humaine. Voici, je te parle : au moment que tu es informé et consterné par les faits que je te présente, tu es maintenant aussi responsable que moi de faire une action. Je crois qu’il faut arrêter de rejeter vers l’interlocuteur qui te transmet l’information la responsabilité. Nous sommes tous responsables de la merde dans laquelle nous pataugeons. Autant les riches que les pauvres. Tous. Nous avons voulu nous mettre dans la merde, nous y sommes. Que fait-on maintenant ? Voulons-nous vraiment nous en sortir ? Tous ensemble ou que quelque-uns ? Ce sont des questions que nous devrions impérativement philosopher ! Voulons-nous changer notre aptitude à ne réagir vraiment que lorsque ça nous pète dans la face ? Voulons-nous vraiment grandir, devenir responsables collectivement ?


Je ne crois pas. Personne n’est prêt pour ça. Personne ne fait vraiment #quelque_chose. On ne fait qu’essayer de changer de petites choses au travers un système désuet, programmer pour nous détruire. On change de zonage ici, on protège des petits bouts de boisés par là, on fait une loi sur les sacs en plastique, on rééduque les gens sur quoi mettre ou ne pas mettre dans le bac à recyclage. Tout ça ne sert à rien, ce ne sont que des changements de surface. C’est intrinsèquement de manière profonde que la société doit se rééduquer. Pas en changeant deux-trois cossins insignifiants pour nous donner bonne conscience


Au coin des rues Marseille et L’Assomption. Boisé du métro L’Assomption.

Pourquoi j’écris ce texte ?

Je me suis un peu égaré. Juste un peu. Au départ, je devais vous écrire, gentiment sans vous brusquer. Sans ébranler vos convictions. Je devais vous écrire un texte voluptueux sur l’importance de protéger deux boisés à Montréal, dans un secteur que l’on nomme, je ne sais pourquoi, L’Assomption Nord. On parle ici des boisés que je nomme Beni Hana et du métro L’Assomption. Mais je ne crois pas qu’essayer de protéger que deux boisés est une solution digne de nous, êtres sensibles que nous sommes ! Nous sommes capables, quand nous le voulons, protéger, aimer et conserver de grandes étendues de territoire. C’est tout un système de parc semi-protégé, c’est tout une trame verte et bleue qui est à protéger dans l’est de Montréal !


Encore là, est-ce nécessaire au point où nous en sommes ? Dans une société utopiste, qui n’existe que dans ma tête, il serait primordial et naturel, voire automatique de protéger n’importe quelle parcelle de terrain qui contient une friche ou un boisé.

Je crois que l’on en est rendu là pour la survie de l’humanité. Protéger tout ce que

nous pouvons, ne plus penser en terme qu’économique, dans toutes les sphères

de la société. On est à tout perdre, nature, civisme, éducation, qualité de vie et j’en

passe et des meilleurs. La liste est longue. J’y reviens : mais voulons-nous vraiment

nous en sortir ?


Alors, après ce long préambule, croire que sauver que deux petits boisés montréalais,

ça va changer le monde, ça va changer la face de la société... Faut être naïf un brin. Commençons par cela, peut-être est-ce un bon exercice, pour moi, pour vous. Il est certain qu’il m’est passé par la tête de fonder un parti politique pour les prochaines élections provinciales. Mais jouer avec les règles du système est déjà une défaite. Oui,

je suis défaitiste. Cela me décourage foncièrement que peu de gens ait le courage de

se lever, de lire tout ce texte ou de changer le monde au complet. Je ne comprends pas pourquoi on ne se lève pas tous ensemble pour philosopher, sans contrainte aucune, sans préjugés, d’un nouveau monde. Bon !


Concrètement, de quoi parle-t-on ?

Alors là, ces deux boisés j’en ai parlé amplement dans le passé. Ils sont en perdition, zonés par la Ville pour y construire des condos. Je vous retransmets ici ce que j’ai écrit, tout d’abord pour le boisé du métro L’Assomption sur La flore du Québec


Le boisé du métro L’Assomption va disparaitre (au coin des rues Marseille et L’Assomption

à Montréal). Même si lors de la consultation publique de 2016 (PPU Assomption Nord) plusieurs personnes ont démontré un vif intérêt pour la conservation de ce boisé. Même si plusieurs intervenants en ont parlé favorablement, que tout le monde finalement s’accorde pour dire que c’est sain d’avoir des petits boisés en ville. Ça prouve un peu que ces consultations publiques ne servent pas vraiment le peuple.


Je suis à lire le rapport Étude qualitative des arbres et du boisé du boisé du métro de L’Assomption, qui a été commandé par MERLIN IMMOBILIER INC. / PLACEMENT JMF INC.

et GROUPE IBI-DAA en 2014. Ce dernier a été produit par Nadeau Foresterie Urbaine. Honnêtement, ce rapport est de mauvaise foi, c’est un torchon juste bon à s’allumer un feu. Ça paraît tellement que ça été écrit que pour donner raison aux investisseurs immobiliers. D’autant plus que la recherche sur le terrain a été effectuée en hiver, en ne tenant pas compte des petits arbres, ni des arbustes, ni des plantes ligneuses, ni de ce qui fait que c’est un boisé finalement. Un boisé n’est pas que des arbres !


Le gros problème, c’est dans le domaine de la foresterie, tout le monde recherche une érablière à caryer, c’est le seul regroupement qui semble digne d’être protégé. C’est effectivement la forêt ancestrale montréalaise, l’érablière à caryer... Mais est-ce qu’il en reste sur l’île de Montréal ??? Vraiment pas beaucoup, tout a été coupé il y a longtemps. Les trois seuls vestiges que je connais de cette ancienne forêt, c’est sur le Mont-Royal, au parc Thomas-Chapais et au Bois-des-Pères. Ça reste que des petits bouts, des vestiges quoi... Pourquoi avons-nous encore comme critère de référence l’érablière à caryer montréalaise dans ces rapports bidon ? Pourquoi ? C’est complètement irréaliste, on est à une autre époque, on

est dans une nouvelle mentalité.


Oui, le boisé du métro L’Assomption est un mélange de flores indigène et exotique.

Et puis après ? C’est comme ça, c’est la nouvelle manière que la nature agence ces boisés montréalais. En quoi l’homme a quelque chose à dire là-dessus ? Bon, je suis choqué !

Je vous laisse le lien de ce torchon de Nadeau Foresterie Urbaine !



Au côté de la route de gravier traversant le boisé Beni Hana.

Pour ce qui est du boisé Beni Hana, qui d’ailleurs est considéré comme boisé par la Ville de Montréal, son avenir est incertain. Il est malmené certes, mais pas complètement détruit. J’aimerais donc que lui aussi ait le même statut de protection que son voisin, le boisé du métro L’Assomption. D’ailleurs, je n’en ai pas encore parlé, mais les deux boisés ont connu le ruisseau de la Grande Prairie (ou Molson). Je n’en ai pas parlé, car le résultat de la guérilla juridique entre Ray-Mont Logistiques et la Ville de Montréal m’ont terriblement chagriné. Différent très légitime : la Ville de Montréal ne veux pas qu’il y aie d’entreposage de conteneur à ciel ouvert sur ce territoire. Peut-être le savez-vous, mais sur le terrain de Ray-Mont Logistiques, l’ancienne friche de la Canadien Steel Fondries, une grande partie du ruisseau de la Grande Prairie coulait abondamment. Ce grand terrain est aussi voisin des deux boisés ici nommés que j’aimerais protéger. Ils font tous partie d’un réseau d’espace vert où l’on pourrait créer des bassins dans l’ancien lit du ruisseau. Donc, la petite guerre juridique s’est soldée par une victoire de Ray-Mont Logistiques, qui s’est empressé d’enterrer le plus grand vestige du ruisseau de la Grande Prairie encore vivant ! C’est qu’ils ont maintenant le droit de faire ce qu’ils veulent sur leur terrain. Purée que ça fait mal !


Voici ce que j’ai écrit à propos du boisé Beni Hana, pour interpeller les gens sur son sort, sur le groupe Facebook La flore du Québec :


Ah ! Quel espace magique ! S’y installer au centre, caché de tous, on n’y entend presque plus la ville ! Ce petit boisé que je nomme Beni Hana a déjà été plus touffu. Un entrepreneur a construit une nouvelle tour à condos Lux Gouverneur en passant par là. Bizarre de solution, au lieu de passer par le boulevard L’Assomption. Peut-être qu’on ne voulait pas brimer le trafic vers la station de métro la moins utilisée de Montréal ? Dire que la Ville a approuvé ce genre de stratagème... Au diable la nature, vaut mieux que les chars pis les bus passent sans encombre... Désolant, vraiment ! 


L’endroit qui est maintenant envahi en son centre par de la garnotte dense à déjà vu passer le ruisseau Molson (ou de la Grande Prairie). Le statut de ce boisé est précaire. Je suis certain que les retraités qui en bénéficient sans le savoir ne lèveront jamais le petit doigt pour conserver cet espace magique. On le sent au centre du boisé que c’est plus frais, on le sent que le son y est filtré. Donc les voisins en bénéficient ! Tout le monde en bénéficie ! C’est tellement pas compliqué à comprendre.


Sur la rue Sherbrooke est, à côté des tours à condos Résidence Lux Gouverneur, près du boulevard L’Assomption.



Fraudait ben conclure, je pense...

Haha ! Oui, bon. Avant de conclure et de vous demander de signer la pétition, j’aimerais que vous les regardiez en vidéo ces deux boisés. Avec mes amis Charles L’Heureux et Roger Latour, deux naturalistes hors du commun, nous avons visité ces boisés à l’automne 2015. Sûr que ce n’est pas aussi beau qu’en été, mais bon. Mes amis ont découvert des choses fascinantes que je vous laisse découvrir.


Aussi, seulement avec Charles L’Heureux, nous avons fait le tour du boisé Beni Hana en identifiant les espèces. Cette fois en été ! C’est une ormaie d’environ quarante ans qui à l’époque n’avait pas été détruite à moitié.



Il serait fort apprécier que cette pétition tourne allègrement dans le monde virtuel des réseaux sociaux. Oui, ça ne reste qu’un clic sur une page, ce n’est pas du porte-à-porte avec stylo et liasse de papier. C’est beaucoup moins éreintant et impliquant. Je vous demande donc de remplir la pétition avec le plus d’infos possible sur vous, le ou la signataire. Comme si vous remplissiez la pétition en vrai, dans l’entrée de votre demeure, avec un bénévole qui vous tend un stylo. Cela va ajouter à la crédibilité de l’exercice démocratique ! Merci infiniment !



0 commentaire
Ancre 1
bottom of page